Le Représentant du Préfet de la Girondeest un Menteur,un Manipulateur et un Tricheur
 
jugement
22 Avril 2009 Le Représentant du Préfet de la Gironde est un Menteur, un Manipulateur et un Tricheur Notre compatriote enfermée au centre de rétention à Toulouse a été présentée au JLD, samedi 18/04/2009 à 14 heures. Il semblerait que le Juge des libertés et de la détention de permanence samedi 18 avril 2008 à Toulouse n’a pas respecté les droits de la défense dans sa décision rendue sur la prolongation illégale de notre compatriote au centre de rétention de CORNEBARRIEU. Ce dernier à affirmer dans le jugement rendu à 19 heures au sujet de notre compatriote que: « L'autorité consulaire effectivement compétente, a été saisie depuis le 1er avril 2009 et a fait savoir le 17 avril 2009 que le dossier était en cours d'instruction et que l'audition de l'intéressée étant prévue le 23 avril 2009 à 16h » alors qu’il n’ y a , aucune trace de la saisine du Consulat en date du 1er avril 2009, et aucun courrier de cette autorité en date du 17 avril 2009 dans le dossier Après vérifications, il apparait que le préfet de la Gironde n’a jamais contacté les autorités gabonaises et nous sommes surpris qu’un juge qui est sensé faire respecter la loi se soit fourvoyé dans une parodie de justice. Le JLD de permanence aurait dû avoir la preuve matérielle que les diligences avaient été faites par la préfecture. Or le dossier était vide, aucune réponse écrite du consulat n’a été fournie au JLD, ni courrier envoyé par le préfet au consulat. L’Etat français ne peut pas continuer à demander aux étrangers de respecter les lois françaises, nous débiter les valeurs de la république, nous parler d’intégration républicaine, dans un pays qui s’assoit sur les droits des justiciables étrangers. Nous organisons une résistance face à cette « voyoucratie », nous comptons sur notre Haute-représentation à Paris, que nous accusons à raison , de ne pas protéger les citoyens gabonais en France, de faire preuve pour une fois de leur droit de ne pas recevoir ces agents qui représentent des préfets qui se « fendent la poire » en s’asseyant sur les conventions franco-gabonaises liées à l’immigration, d’user de leur pouvoir pour exiger que la procédure conventionnelle de refoulement des gabonais soit respectée. Nous suivons cette histoire de très près avec le concours de la presse gabonaise, nous attendons de voir si nos autorités diplomatiques signent ce « laissez expulser », si une telle décision est prise, nous allons lancer une pétition pour exiger leur départ immédiat. Notre association va continuer à commettre le délit de solidarité tant que l’Etat français s’amusera à nous prendre pour des cobayes du laboratoire des expulsions du Ministère de l’Immigration et le divertissement pour nation en colère. Nicolas Sarkozy a annoncé mardi à Nice avoir demandé au gouvernement de déposer devant le Parlement "un projet de loi organique" portant notamment " sur la responsabilité des magistrats afin de mettre fin aux accusations de corporatisme et d'impunité des juges . La réforme prévoit aussi que le citoyen puisse saisir directement cette instance s'il s'estimait victime d'une injustice. Le président Sarkozy à l’origine des lois scélérates sur l’immigration aurait affirmé selon l’article paru sur le site de France 24 : « Je suis responsable, le commissaire est responsable, le professeur est responsable, le magistrat est responsable. Nous sommes tous responsables pour la part qui est la nôtre, les magistrats font un travail remarquable, mais les Français ont été choqués d'un certain nombre de dysfonctionnements. Si les français ont été choqués par un certains nombre d’affaires, notre association est offusquée par cette machine à expulser où certains juges collaborent en prenant pour monnaie comptant les mensonges grossiers des forces de l’ordre et des représentants des préfets lors des audiences. Des dysfonctionnements graves sont observés tous les jours dans les procédures en ce qui concerne les arrêtés de reconduites à la frontière et les arrestations des étrangers en situation régulière ou non. Dans la procédure de refoulement des citoyens gabonais, les préfets sont dans l’obligation d’effectuer un certain nombre de diligences sur lesquelles ils font l’impasse. Nous espérons que cette impunité des magistrats sera sanctionnée aussi pour le respect des droits des étrangers. Nous vous invitons à prendre connaissance du « jugement » rendu samedi Cette décision est un manquement grave aux droits de la défense, nous nous réservons le droit de déposer un recours afin que de tels agissements illicites ne se reproduisent plus à l’avenir pour d'autres compatriotes.
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